Quatrième de couverture :
Vue de la terre, la lune, par sa rondeur et sa bonhomie incite à toutes
les rêveries… Inaccessible et pourtant si proche, elle peuple
l’imaginaire des hommes pressés de la conquérir, et enflamme le monde
depuis la nuit des temps avec son lot de légendes et de mystères.
Dans Les contes de la lune, les enfants sont transportés dans des univers très différents, au gré de récits qui ont tous la lune comme déclencheur de situations insolites : que ses rayons éclairent l’aigle blessé, la princesse désespérée, les souris affamées, le boxeur conquérant, le vieux chat jaloux, l’ourson espiègle ou les deux enfants perdus en forêt, elle les pousse à faire de petites bêtises ou de grandes choses !
Dans Les contes de la lune, les enfants sont transportés dans des univers très différents, au gré de récits qui ont tous la lune comme déclencheur de situations insolites : que ses rayons éclairent l’aigle blessé, la princesse désespérée, les souris affamées, le boxeur conquérant, le vieux chat jaloux, l’ourson espiègle ou les deux enfants perdus en forêt, elle les pousse à faire de petites bêtises ou de grandes choses !
Mon avis :
Proposé par l’auteur elle-même, je n’ai
pu résister à ces petits contes enfantins. Je remercie Elisabeth
Delaigle pour sa confiance et son dévouement à l’égard de son roman.
J’ai toujours
aimé lire les nouvelles adressées aux plus jeunes. Même si depuis quelques
années maintenant, j’avais mis de côté ce genre de lecture, je ne refuse jamais
d’en découvrir de nouvelles. Il y a quelques semaines, je m’étais replongée avec
bonheur dans les histoires des frères Grimm, et pour beaucoup, j’ai noté une certaine
influence à ses superbes contes. Je ne parle pas de plagia, surtout pas !
Je parle d’ambiance qui m’a totalement enchanté.
Elisabeth
Delaigle est une auteure talentueuse. Je me suis retrouvée petite fille, dans
le lit de ma grand-mère, écoutant avec avidité des histoires de princesse, de
souris et autres personnages rocambolesques et merveilleux.
Toutes ses
histoires sont fabuleuses, et aucune n’a ma préférence. En fait, je ne saurais
dire laquelle m’a le plus comblé.
-Le Buveur de Lune, m’a rappelé une Bande
Dessinée, Yakari (L’histoire d’un petit
indien, qui rencontre un aigle, et qui galope dans les prairies avec son cheval
Petit Tonnerre).
Dans le Buveur de Lune, Le petit indien
Waban va découvrir et élever un oisillon, qui se transformera en aigle majestueux.
Une forte amitié en découlera.
-La fileuse de Lune, me
rappelle certains contes des frères Grimm. Des histories qui, enfant, m’avaient
passionnées, tant je m’identifiais à ces petites filles/princesses/paysannes.
J’ai particulièrement aimé ce conte. L’histoire de cette enfant un peu trop
curieuse, qui se voit punie pour sa faiblesse. J’ai surtout apprécié le passage
où elle file ses cheveux… Une très belle histoire.
-Les croqueuses de Lune, relate les aventures de petites souris. Outre le fait qu’elles soient
toutes mignonnes et intrépides, le conte n’en ai pas moins tragique. Il est
question de famine, et ce n’est pas un sujet très agréable pour ses pauvres
petites souris. Je les ai trouvés adorables et touchantes. Elles sont si naïves qu’elles en sont
attachantes.
- Le Boxeur de Lune nous apprend qu’il ne
faut jamais baisser les bras. Qu’un jour, nous serons récompensé de nos
efforts, et ce n’est pas le jeune Ben qui nous diras le contraire. Ben est un
adolescent maigrelet et affamé, fasciné par la boxe. Grâce à sa ténacité et sa bravoure,
l’enfant prouvera son habilité à cet art et changera sa destinée. J’ai adoré le
passage de l’ombre chinoise.
- La voleuse de Lune. Moi qui aime plus
que tout ma petite Lottie (mon chat femelle), je ne pouvais rester insensible à
cette histoire. Celle de deux chats… un vieux matou et eu petite demoiselle
intrépide. Un vieux filou, et une tête brulée qui se sont bien trouvés en fin de
compte…
-Les chasseurs de Lune, narre l’histoire de jumeaux audacieux, qui pour satisfaire les caprices
de Rosine, partent chasser le Lune. Les malheureux vont s’égarer dans la forêt,
et passer leurs temps à tourner en rond. Heureusement pour eux, l’auteur est d’humeur
sympathique, et les chérubins ne tarderont pas à être retrouvés !
-Le pêcheur de
Lune, et un conte tout mignon. Parce qu’il n’a pas réussi à pêcher du poisson
pour lui et sa mère, le petit Mayak, un ourson, part pêcher pendant la nuit.
Mais alors qu’il pense dénicher un gros poisson, c’est la Lune qu’il va croiser
sur son chemin…
De magnifiques
contes autour de la Lune, j’ai vraiment passé un très agréable moment. J’aurais
aimé avoir de telles lectures enfants (même si celles que j’avais étaient bien distrayantes).
Je tenterais l’expérience de lire ces histoires à des enfants, j’en ai quelques-uns
dans mon entourage, mais je suis déjà certaines de leurs réaction. Ils
apprécieront !
Je remercie
encore Elisabeth Delaigle pour cette belle surprise qu’elle m’a faite. Merci de
votre confiance. J’attends de vous d’autres histoires maintenant, alors,
dépêchez-vous de nous en écrire d’autres !
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