tome 1 : Les Cendres de l’oubli
De Carina Rozenfeld
Quatrième de couverture :
Elle a 18 ans, il en a 20. À eux deux ils forment le
Phænix, l'oiseau mythique qui renaît de ses cendres. Mais avant de le devenir,
ils devront se retrouver et s'unir dans un amour pur et éternel...
Depuis l'origine du monde, le Phænix meurt et renaît perpétuellement de ses
cendres. L'être fabuleux est constitué de deux âmes sœurs. À chacune de ses
résurrections, ses deux moitiés doivent se retrouver et s'aimer pour reformer
l'oiseau légendaire. Car lui seul a le pouvoir d'éloigner les menaces qui
pèsent sur l'humanité. Malheureusement, les deux amants ont été séparés et
l'oubli de leurs vies antérieures les empêche d'être réunis... Aujourd'hui,
dans le Sud de la France. Anaïa a bientôt dix-huit ans. Elle a déménagé en
Provence avec ses parents et y commence sa première année d'université.
Passionnée de musique et de théâtre, Anaïa mène une existence normale. Jusqu'à
cette étrange série de rêves troublants dans lesquels un jeune homme lui parle
et cette mystérieuse apparition de grains de beauté au creux de sa main gauche.
Plus étrange encore : deux garçons se comportent comme s'ils la connaissaient
depuis toujours... Bouleversée par ces événements, Anaïa devra démêler le vrai
du faux, comprendre qui elle est vraiment et qui saura la compléter. Elle devra
souffler sur les braises mourantes de sa mémoire millénaire pour redevenir
elle-même. S'ouvriront alors les portes d'une nouvelle réalité dans laquelle
amour et fantastique sont étroitement liés.
Mon avis :
Un phénomène littéraire incontournable, voilà ce qui
résumerait sans doute, le roman de Carina Rozenfeld. C’est, en tous les cas, l’un
des termes qui m’a été donné pour m’inciter à le lire.
Alors, ai-je également succombé à cette héroïne et son
histoire ? Soyez patient, j’y viens…
Parlons couverture :
Si on doit bien reconnaitre une chose évidant, lorsqu’on
voit cette couverture, c’est son attrait incroyable. Je suis totalement
envoutée par cette image. La photographie, aérienne, de cet homme est hypnotisante,
et j’avoue avoir un certain contentement à la retrouver dans ma bibliothèque. N’est-elle
pas superbe ? Rien que pour cela, je suis assez démonstrative envers mes
amies en le leur présentant. On souhaiterait tous avoir un livre avec cette
couverture, ne trouvez-vous pas ?
Parlons contenu :
J’ai eu, il faut le dire, une petite crainte concernant l’histoire
elle-même. Une sourde angoisse de me retrouver à lire un livre jeunesse bien
trop… gnian-gnian. Ayant été déjà fortement échaudée par d’autre roman de ce
genre, je m’inquiétais de ne pas être assez « accrochée » par cette
romance à trois, et ces songes mystiques.
Heureusement pour moi, et ma curiosité maladive, les
différentes opinions lus sur les blogs de certains lecteurs, m’ont suffi à ma
laisser tenter par cette nouvelle fiction.
Anaïa est une jeune femme un peu chamboulée, contrainte
de suivre ses parents, pour une nouvelle vie en Provence, loin de son univers
et ses amis.
Dès lors, nous la suivons à travers son quotidien. Appréhension,
découverte, affections, s’entremêlent et nous dévoilent, peu à peu, une
intrigue appréciable.
On pourrait penser que dit comme ça, nous pouvons nous
attendre à une histoire sommaire, où les sentiments exacerbées d’adolescents
boutonneux sont détaillées, décortiquées et révélés au grand jour. J’aurais,
alors, trouvé ce roman bien trop… insignifiant, pour m’y intéresser vraiment.
C’est sans compter, le côté fantastique et la plume très agréable
de l’autre.
Les rêves d’Anaïa sont troublants, voir déroutants. Cette
tour, si réelle et familière, cette présence, devinée, si rassurante, et cette
ombre, menaçante et pourtant si attractive. Anaïa fusionne avec ses rêves et
les grains de beauté qui apparaisse au creux de sa main, ne sont pas là pour la
rassurer. Que lui arrive-t-il ? Qui est cet homme caché dans cette tour,
et qui lui semble si vitale à son bien-être ? Que signifie le comportement
terriblement masculin des deux garçons de son club de théâtre ?
C’est là toute l’essence même de ce livre, une plume envoutante, addictive,
qui rend attrayante, une histoire assez basique. Jusqu’à la dernière ligne,
nous sommes transportés, dans cette atmosphère chimérique. Les personnages sont
eux aussi obsédant, et j’ai même eu LE petit frisson pour ce garçon mystérieux,
un brin horripilant, et pourtant si… charismatique.
Et que dire de cette BO distillée, qui nous rapproche un
peu plus encore, de cette héroïne aux cheveux de feu. Symbiose parfaite entre le
Classique et la musique indépendante, j’ai découvert, ou redécouvert des airs
entrainant et entêtant, parfaitement ajustés à l’histoire.
Si vous ne l’avez pas encore lu, je vous encourage à y
regarder de plus près. Lisez les premières lignes, et vous serez dans l’obligation
dans découvrir d’avantage. Pour ma part, j’ai suis déjà impatiente de pouvoir
lire le tome 2, qui promet d’être tout aussi prometteur.
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tome 2 : Le brasier des souvenirs
Quatrième de couverture :
Elle a tout oublié, il se
souvient de chaque instant.
Depuis l’origine des temps,
ils se retrouvent pour former le Phænix et faire perdurer la légende.
Mais pour que l’oiseau
mythique renaisse ce ses cendres, pour qu’ils puissent se rejoindre, elle doit
regagner la mémoire, et le chemin qui la mènera à sa moitié.
Anaïa a découvert qu’elle
était détentrice d’un secret oublié depuis longtemps. Deux garçons qu’elle a
rencontrés à la fac, Eidan et Enry, attendent d’elle qu’elle se souvienne,
qu’elle recouvre sa véritable identité.
Pour y parvenir, Anaïa doit
explorer les recoins les plus sombres de son inconscient et emprunter un chemin
où musique et sentiments se mêlent étroitement.
Prise dans le brasier des
souvenirs, il lui faudra affronter bien plus que sa mémoire oubliée, et faire
face aux démons de son passé.
Mais l’amour pourra-t-il
suffire à réparer ce qui a été brisé et à écarter le péril qui la guette ?
Mon avis :
C’est avec beaucoup de
plaisir, que je me replonge dans l’histoire d’Anaïa. Je l’avais laissé un peu à
regret, après une lecture d’un premier tome très agréable à lire.
Parlons couverture :
Tout simplement parfaite. Elle
illustre avec justesse l’image que je me fais de l’héroïne. Enflammée, à la
chevelure dorée, je la trouve magnifique.
Elle donne envie, et si je n’avais
pas déjà connu la saga, cette couverture m’aurait fasciné et inciter à acheter
le premier tome.
Parlons contenu :
Après avoir eu bons nombres de
révélation dans le précédent opus, (j’éviterais les spoilers pour les petits
curieux), Anaïa n’a plus de nouvelle d’Eidan. Parti en Amérique, le jeune
homme, après avoir fait sa déclaration, disparait.
Anaïa ne s’est plus que
penser. Surtout depuis qu’elle connait l’appartenance des battements de cœur de
son rêve. Troublée, perdue, la jeune fille ne s’est plus que penser.
Enry, est de plus en plus
versatile, parfois colérique, parfois adorable, Anaïa ne le comprend plus.
Quels sont ses secrets, qui est-il ? Elle s’interroge.
Ce deuxième tome est tout
aussi plaisant à lire que le premier. J’ai vraiment aimé chercher l’identité d’Enry
à travers les âges. Qui est-il par rapport au phénix ? Que veut-il en fin
de compte ?
Dans le premier tome, les rêves
d’Anaïa étaient essentiellement portés sur la tour, élément important dans l’histoire.
Après avoir eu certaines
réponses, les rêves d’Anaïa se transforment, et nous la retrouvons sur une
plage, isolée, perdue et apeurée.
Tout comme dans la réalité, la
jeune fille a perdu la mémoire, elle a oublié les noms, les détails important
de son passé. Pourtant, plus on avance dans l’histoire, plus le songe s’étoffe,
et flirte avec la réalité.
J’ai tout de suite pensé qu’il
s’agissait d’un lien avec le secret de sa mémoire. Plus elle approchait de la
vérité, plus ses rêves s’éclaircissaient.
J’ai souvent spéculé sur
toutes les interrogations que je me faisais. Et j’avoue avoir été surprise par
certaines révélations, ce qui n’est pas pour me déplaire. L’intrigue est
toutefois plus faible que dans le précédent roman. J’ai trouvé qu’il y avait
quelques longueurs et je n’ai pas ressenti ce même plaisir dans ma lecture. Même
si j’ai apprécié terminer cette mini saga, il m’a manqué ce petit émoi qui
marque à vie.
Cependant, je ne regrette pas
ma lecture et j’ai passé un agréable moment.
Super chronique Julie :-) J'ai débuté la nouvelle ... malheureusement, je ne suis plus capable de la lire sur ma liseuse. Mais j'ai bien hâte de tenir le tome 1 entre mes mains :-)
RépondreSupprimermerci beaucoup !
Supprimeraaah les liseuses... toutes une histoire. Je pense lire un jour ou l'autre cette nouvelle, mais j'attends déjà de pouvoir lire le tome 2, histoire de ne pas avoir trop de révélations inattendues ;...
Ah bonne nouvelle... je vais pourvoir lire la nouvelle sous peu !!! Alors je verrai si j,aime bien la plume de l'auteure pour me lancer dans l'achat des romans !!!
Supprimerj'irais lire ta critique de la nouvelle alors, car j'hésite à l'acheter :P
Supprimerje viens de lire le 1er tome et j'ai beaucoup aimé ! très addictif !
RépondreSupprimerOui il est très sympa et j'aime tellement la couverture ❤️
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