De Andrée Maurin :
Quatrième de couverture :
Dans ce roman, Andrée Maurin décrypte avec justesse l’évolution du
sentiment amoureux entre les deux personnages qui succombent à un véritable
coup de foudre dès leur première rencontre
Jeanne, la trentaine passée, divorcée depuis quelques années d’un mari
ombrageux et jaloux, partage son temps entre son métier de professeur, son
chat, qu’elle a recueilli la nuit même de sa rencontre avec Jean, et son
journal intime ; c’est à ces deux derniers qu’elle confie ses états d’âme.
Jean, marié à Eléonore, bien plus âgée que lui, est conscient qu’il
doit tout à sa femme ; il se débat entre la passion qu’il éprouve pour Jeanne
et ses scrupules, sa dette morale envers Eléonore qui l’a accueilli chez elle
avec ses deux petits garçons, à la mort de Cécile, sa première femme. A essayer
de refouler cet amour qu’il se refuse, il tombe dans une dépression dont rien
ne peut le distraire.
Après une année d’attente et de désespoir, un Improbable destin les remet
en présence : Jean et Jeanne se retrouvent au cours d’une soirée littéraire et
sont emportés malgré eux dans une relation passionnée.
Parlons de l'auteur :
Andrée Maurin, auteure
résidant en Nouvelle-Calédonie, publie en 2013 son premier roman « Improbable
destin » aux Editions du Panthéon. (Je n’ai rien d’autre pour vous la
présenter, désolée).
Entre parenthèse :
Je remercie l’auteur, Andrée
Maurin, ainsi que Les éditions du Panthéon, pour leurs confiances. Merci
également, aux organisatrices de l’opération coups de cœur 2014, pour tout le
travail apporté dans la distribution des ouvrages mises à notre disposions,
ainsi que leur temps et leurs gentillesses à notre égard.
Mon avis :
Pour tout vous dire, je n’ai
pas sélectionné ce roman lorsqu’il nous a été donné de choisir entre les
différents livres de la catégorie littérature générale.
C’est donc sans surprise, ou d’éventuelles
attentes, que je me lance dans la lecture d’Improbable
destin.
Parlons couverture :
Je crois que l’on peut passer notre
tour, la maison d’édition ayant choisi une couverture épuré et sobre. Je ne
suis pas friande, mais nous pouvons tout du moins ne pas être influencés sur
notre lecture.
Parlons contenu :
Si j’ai bien une chose à
relever dans l’écriture de l’auteur Andrée Maurin, c’est cette élégance dans le
verbe. J’ai trouvé son style très plaisant à lire. Et je parle essentiellement
de la narration, parce qu’après, c’est une autre histoire en ce qui concerne
les dialogues…
Je le dis tout de suite, je n’ai
pas du tout accroché à l’ensemble du roman. J’ai trouvé que l’histoire d’amour
était assez pompeuse et cette façon de s’exprimer plutôt obsolète. Qui, même à
l’âge des deux protagonistes, parlent encore comme cela ? On se croirait au dix-huitième siècle, et encore.
Cela m’a totalement prise au
dépourvu, et j’ai même trouvé cela assez ridicule. C’est bien dommage.
Pas que l’histoire en
elle-même m’ait plus. Je n’ai pas apprécié les personnages, soit trop
rose-bonbon, soit trop insipides ou bien un peu trop schizophrènes sur le
retour…
Pourtant, l’idée de départ
pouvait être intéressante. Un coup de foudre. Un sujet vaste qui pouvait nous
emporter dans une romance machiavélique. Car l’homme est marié, et sa femme autoritaire
aurait pu dès le départ, empêcher cette idylle de manière démentielle… J’aurais
aimé une ambiance sombre sur la folie d’un couple qui se ment et qui se déchire…
Je ne donne en rien mon avis
sur les couples infidèles ou les maris volages, il n’est pas question de cela,
à chacun ses choix, ce n’est pas le sujet. Non, ce qui me gêne dans cette
histoire c’est le manque de rebondissement, qui retranscrit une certaine agonie
dans ma lecture. Rien ne se passe, à part quelques lignes en fin de roman.
Ennuyeux…
Bon...je passe mon chemin du coup !
RépondreSupprimer:S
SupprimerOh dommage tiens, tu vois en lisant la quatrième je suis super emballée, car comme tu dis cela laisse présager du bon, mais à ce que tu en dis. A voir mais pas tout de suite...
RépondreSupprimerje suis passée à côté...
Supprimer